mardi 8 août 2017

Le nouveau nom d'Elena Ferrante

Encore plus savoureuse que l'opus I, cette suite de l'Amie prodigieuse imprègne le lecteur des langueurs et des tensions napolitaines d'antan, sans lasser, rivé qu'il est (le lecteur, donc) au destin des filles, complexement complices et rivales depuis leur tendre enfance.
Je me suis dit que beaucoup de lecteurs ont pu s'identifier facilement à la narratrice, à travers ses réussites et ses fragilités. Peut-être une des clés du succès. J'espère que le lecteur averti, dans sa lecture solitaire de cet article trop court, acquiesce quand même comme une bête en hochant ce qu'il veut, on n'est pas regardant.
Je m'en vais chercher la suite, de ce nonchalant pas, qui ne me caractérise nullement.



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